Kang Dae Myung► Pseudo : none ► Celebrity : kim beom ► I'm here since : 20/10/2012 ► Messages : 8
| Sujet: d a m o n ❝ bringmethehorizon. Dim 21 Oct - 0:25 | |
| KANG DAE MYUNG (DAMON) ft. kim beom
Annyeong Haseyo ! Je m'appelle kang dae myung. J'ai 25 ans et encore toutes mes dents. Je suis né le 19 mars 1987 à washington d.c. Je sais que vous mourrez d'envie de le savoir, alors je vais vous le dire. Je suis totalement hétéro, avis aux intéressées. Je travaille actuellement en tant que membre du comité de direction et héritier potentiel de D-light Coffee U.S (chaîne américaine de distribution et restauration du groupe D-light Corp.). Je suis bien évidemment un personnage inventé du présent, et je le vis très bien. Je tiens à notifier que je suis doublable. LET ME ASK YOU A FEW QUESTIONS
Parlez-nous de vous. Décrivez vous en quelque mots.- Spoiler:
Il y a le « moi » image de marque et membre influent d’une grande entreprise, cette façade quasi-irréprochable que vous me verrez arborer dans le cadre du travail. Fidèle aux photographies placardées en ville : souriant, impliqué, doté d’un sens aigu du travail d’équipe et du dicton populaire selon lequel le client est roi. Qu’on me charge d’un projet et je m’acharnerai pour en venir à bout. Qu’on me questionne et je répondrai avec application; ce n’est pas sans résultat que mon père passe des heures à me bourrer le crâne de toutes les informations utiles (ou pas) concernant D-light Corp. Un fils modèle pour un père comblé… foutaises. Comme toute famille, les Kang ont leurs secrets honteux et leurs moutons noirs. Ceux de mon paternel sont (secret : ) son faible pour les femmes, et (mouton noir : ) moi. Et à vrai dire, le tout est étroitement lié.
Kang Kyung Hong a eu droit, comme son nom l’y prédestinait, à une grande réussite du point de vue professionnel. Du point de vue sentimental par contre, on repassera. Coureur de jupons comme on n'en fait pas, il s’est fixé à trente ans avec une femme de cinq ans sa cadette; un an plus tard elle donnait le jour à une charmante petite fille, Kang Chae Ri. Un défaut n’a pourtant pas tardé à ronger cet irréprochable portrait de famille : la santé fragile de l’épouse parfaite. Les journaux ont fait grand bruit à l’annonce de sa mort seulement deux ans après les épousailles, mentionnant le désespoir du veuf sans se douter un instant que ses multiples infidélités et son sale caractère ― vous savez, ces traits qu’on masque soigneusement au public et qui ne se révèlent que chez soi, en famille ― avaient joué un grand rôle dans cette triste affaire. L’année suivante, Kyung Hong était propulsé à la tête d’un projet de grande ampleur : l’implantation de la chaîne de cafés de la D-light Corp. aux USA. Il a alors embarqué sa gamine et s'est installé à Washington. Gérer un nourrisson d’un an et les premiers D-light Coffee était une tâche impossible; aussi lui a-t-on aisément pardonné de s’être déniché en moins de deux mois une belle à qui confier le titre de ‘Second Madam’. Le succès monstre des cafés a également joué en sa faveur. Peu après, ce chef d’entreprise acharné s’est vu combler par l’arrivée d’un deuxième enfant : moi. Aha, quelle veine. Ça lui a pris quatre ans pour se lasser de ma mère. Quatre années dont je ne me souviens absolument pas. Après quoi, il m’a bassiné de sornettes prétendant qu’elle nous avait abandonnés, et je lui ai tout passé. Les garces qui défilaient soir après soir, les strings que les femmes de ménage se chargeaient de récolter histoire que Chae Ri et moi ne les ayons pas sous le nez, les excès de boisson, les cris, les sommations impossibles à satisfaire… je me suis battu comme un dingue pour avoir son approbation. Et exigeant, il l’était : non seulement concernant les résultats scolaires mais aussi la réputation. Et puisque « un homme n’en est pas un s’il est incapable de se défendre », il a veillé à ce que je sois notamment formé au wushu, histoire de faire d’une pierre deux coups et de m’initier du même coup à quelques pans de culture asiatique. Ça m’a été utile, à vrai dire. J’étais « différent ». Mes traits de « chintok » et mon prénom étranger m’auraient valu quelques rossées et des moqueries en nombre si je n’avais su me défendre. Il fallait composer avec la solitude, mais ça me semblait être un bon deal puisque les autres me foutaient la paix. Et puis ça me laissait le temps d’étudier. N’empêche que dès que possible, j’ai réclamé que mon nom soit « américanisé » et me suis retrouvé affublé du prénom Damon (sans savoir qu’un personnage populaire de série télé m’ôterait toute originalité en me le piquant, quelques années plus tard). Chae Ri, amusée, a suivi la vague et est devenue « Chanel ». En 96, j’acceptais bon gré mal gré l’arrivée dans nos vies de Sae Hee ― future ‘Third Madam’ et accessoirement belle-maman ― et de sa fille, Jin Ri. Ginny.
Les choses ont basculé à mes douze ans, lorsqu’une lettre anonyme a remis en question les affirmations de mon paternel concernant ma génitrice. Elle n’était pas partie. Elle avait été répudiée, remplacée sans état d’âme. J’ai attendu que mon père soit bourré pour le questionner, parce que l’alcool avait tendance à lui délier la langue, et devinez quoi? Il n’a pas pu nier. Au contraire, il a acquiescé fièrement avant de m’accorder des détails dont je me serais volontiers passé, comme ― par exemple ― le rôle de Sae Hee dans cette séparation : mon père avait entretenu une relation avec elle et fini par réclamer le divorce pour vivre sa nouvelle idylle au grand jour. Inutile de dire… que la nouvelle a été dure à encaisser. Et que suite à ça, mon but ultime (le rendre fier) a perdu toute valeur et tout sens. Je me suis d’ailleurs fixé un objectif diamétralement opposé au premier : devenir tout ce qu’il n’était pas, tout ce qu’il abhorrait, et ruiner son image pour révéler au grand jour ce qu’il était réellement. J’étais jeune, en rogne, arrogant, con, et j’y suis allé comme un bourrin sans trop penser aux conséquences (ou plutôt, disons que j’étais persuadé que je me moquais pas mal des potentielles conséquences). Ça a commencé par des rumeurs à son sujet, qu’il a balayées d’un revers de main, d’un sourire aux journaux et de quelques actions caritatives. Amen. Je me suis alors dit que m’attaquer directement à lui resterait sans effet, mais que je pouvais toujours lui faire honte par mes actions, et montrer par mes déclarations quel mauvais père il était. Mes notes en chute libre. Mes multiples renvois pour insolence, chantage ou violence à l’encontre du personnel enseignant et des élèves, mes aventures avec des professeures. Mes contraventions pour conduite en état d’ivresse, tapage nocturne, mes comparaissions en justice pour possession et vente de drogues… et tant d’autres idioties qui auraient franchement pu ruiner mon avenir. Je me suis même fait passer pour un junkie, à 17 ans, alors que je partage ― et ça me tue de le dire ― l’horreur de mon père pour ces merdes qui font perdre tout contrôle. Il m’a expédié en cure de désintox, j’ai fugué, on s’est disputés, il m’a renié.
Je ne pensais pas qu’il en arriverait là, sincèrement. J’étais une tête brûlée débordant d’impulsivité et d’envie de « faire justice » à sa manière, et je ne voyais pas plus loin que le bout de mon nez. Quand il m’a balancé qu’il ne me considérait plus comme son fils, j’ai plus ou moins pensé « intox » et j’ai voulu le narguer : j’ai ramassé quelques fringues, mon téléphone, les clés de ma bagnole, et je suis allé me poser chez un pote en attendant qu’il me supplie de revenir. Croyez-le ou non, je recevais le lendemain une visite des flics et je me faisais coffrer pour vol. J’ai dû restituer les quelques affaires que j’avais embarquées et mon père m’a gracieusement épargné la prison ― non, vraiment, trop généreux. Mais en échange, je me suis retrouvé avec une dette monstre en guise de rétribution, et une date limite à laquelle lui remettre l’argent réclamé. Ou alors (c’était officieux), je pouvais implorer le pardon Kyung Hong et lui jurer fidélité et dévotion sans limite s’il me… bref. J’aurais encore préféré qu’on me coupe la langue et qu’on me la fasse bouffer plutôt que faire une telle chose, donc j’ai préféré partir en quête de fric. Les quelques petits boulots que j’ai dégotés malgré les scandales que j’avais à mon actif et la sale réputation qui me collait à la peau me rapportaient trop peu pour que j’espère rassembler la somme qu’il me fallait… et c’est à ce moment-là que je me suis mis aux dirty jobs. Je me suis mêlé à de sales affaires, le tout sous les ordres d’un patron corrompu jusqu’à la moelle qui n’hésitait pas à abuser de sa position. Courber l’échine, subir ses punitions et voir mes primes partir en fumée pour des prétextes foireux… j’ai encaissé tout ça sans jamais penser un seul instant que je pouvais y mettre en terme en retournant chez mon père, en me rangeant. C’est Chanel qui a pris l’initiative à ma place. Elle a débarqué un jour, s’est mise à me frapper sur des plaies ouvertes et à me traiter de tous les noms, m’a annoncé qu’elle avait résilié le bail de mon appart’ miteux, a empaqueté mes affaires et m’a trainé par l’oreille jusque chez nous. En temps normal, quitter ce genre de clans étroitement liés aux réseaux de crime organisé italo-américain a forcément des répercussions... Mais j’ai pu me sortir de tout ça sans embrouille, parce que mon père a casqué plein pot pour me tirer de là. Puis il s’est appliqué à redorer mon image. J’ai repris mes études où je les avais laissées et j’ai fait des interviews bidons pour bien faire comprendre à l’américain moyen (et aux collaborateurs de mon père, surtout) que mes frasques appartenaient au passé, que j’étais conscient d’avoir été inconscient et ingrat, que j’avais teeellement honte de mon attitude, que mon père m’avait remis sur le droit chemin, que j’avais maintenant de vrais projets d’avenir et blablabla. J’ai été sérieux, j’ai bossé pour décrocher mon diplôme en marketing, j’ai filé droit pendant… quoi, un an ou deux? Le problème, c’est que le désir de prendre ma revanche sur mon ancien boss me faisait bouillir le sang. Question d’égo. Ainsi, alors que mon père m’offrait une formation personnalisée pour m’apprendre les ficelles du poste exécutif (au grand damne de ceux qui espéraient lui succéder et qui s’étaient décarcassés dans ce but des années durant) et que D-light Coffee concurrençait sérieusement Starbucks, je cherchais un moyen d’élaborer ma vengeance.
Tártaros a été ma solution ― groupuscule de type mafieux qui s’était allié à une triade asiatique avant d’être finalement englouti par elle. Évidemment, mon ancien patron faisait partie de leurs « hommes à abattre », et pour avoir été mêlé à des plans qui, en cas de succès, leur faisaient perdre gros, j’avais toute les chances de me faire descendre en me pointant sur leur territoire. Je ne suis pas certain de ce qui les a poussés à m’accepter dans leurs rangs ― après une mise à l’épreuve douloureuse ― : ils auraient pu me liquider après que je leur ais fourni les infos promises, puisque dans le milieu on n’aime pas les traîtres, même ceux qui ont été utiles. Quoi qu’il en soit j’ai joué double jeu, depuis. Mon père me fait marcher au pas mais j’appartiens à la triade autant, si ce n’est plus, qu’à ma famille. Jusqu’à présent, j’ai su faire mes preuves et me montrer irréprochable. Vous vous demanderez certainement pourquoi, sachant que je suis loin de porter suffisamment mon géniteur dans mon cœur pour être rongé par l’envie de prendre sa suite… mais c’est très simple : Tártaros attend l’annonce officielle du nom du successeur avec impatience. Si j’hérite de toute une branche de la D-light Corp., autant dire que l'organisation en bénéficiera. C’est peut-être la raison de ma survie, en fait… j’ai l’opportunité de consolider leur pouvoir. De fait, je préfère ne pas imaginer ce qui m’arrivera si par malheur j’échoue. Pour l’heure rien n’est sûr : Kyung Hong se méfie de moi comme d’une guigne (à raison) et s’accorde la possibilité de faire son choix entre ses trois enfants et deux de ses associés, des hommes en qui il a (presque) toute confiance.
Pire… ma petite comédie du fils parfait a été mise à mal il y a quelques jours. Je me suis fait avoir comme un bleu par une fille. Une vraie hyène, désagréable et machiavélique. Elle m’a fait ingurgiter je ne sais quoi au cours d’une réception donnée par l’entreprise; le reste de cette fameuse soirée est un trou noir. Le lendemain en tout cas, je me suis réveillé à l’hôtel, dans le même lit qu’elle, et j’ai cru qu’il s’agissait d’une quelconque arriviste, qu’elle avait monté ce coup pour m’obliger à lui donner de l’argent. Cette (mauvaise) impression n’a fait que se confirmer lorsqu’elle a prétendu être enceinte… et qu’elle a apporté des preuves de ses dires. Je n’ai su que plus tard qu’elle était la fille du big boss (le CEO du groupe, ouais, rien que ça). Je me suis alors retrouvé à lui courir après le jour prévu pour son retour en Corée, histoire tenter de régler l’affaire en douceur avant qu’elle ne parle à son père ou au mien du « goujat qui l’a mise en cloque et ne l’a pas assumé » (moi, quoi). Comme elle refusait de m’écouter, j’ai pris un billet de dernière minute, sur un coup de tête, et ai sauté dans le même avion qu’elle, mais cette peste m’a semé à l’arrivée. Bon sang. Elle tient ma vie entre ses mains, elle ne sait même pas à quel point... et ce n’est pas moi qui vais le lui dire, elle en jubilerait, c’est certain ! Non, mon plan est plutôt de la séduire et… après j’aviserai. Je préfère ne pas réfléchir tout de suite au point auquel je devrai arriver pour sauver ma peau.
S’il me faut résumer mon caractère pour en donner un aperçu… je dirais que ma personnalité est duale. Charmeur, à l’écoute, concilient, méticuleux, je donne mon maximum en permanence lorsqu’il est question du travail. Mais en hors de portée de l’autorité paternelle, mon attitude varie considérablement. Je me comporte avec les autres au gré de mon humeur. Les employés de maison qui pullulent dans la demeure familiale ou à mon appartement sont tout particulièrement habitués à me voir souffler le chaud et le froid, tantôt rude tantôt respectueux. Je ne supporte pas l’enfermement et vis dans un appartement fantôme : je sors en quasi-permanence et passe mon temps à claquer de l’argent dans des restaurants, des ciné, des boîtes de nuit et des broutilles, puisque j’en ai à ne savoir que faire. Joueur, je fais parfois des autres une source d'amusement temporaire. Par exemple, si un ami veut faire un truc absolument stupide comme sauter en parachute, je pourrais bien lui prêter du fric pour qu'il réalise son rêve, à condition d'être présent lorsqu'il se pétera la gueule. À noter que tous ceux à qui j'attribue le titre "d'amis" ne me tiennent pas forcément à cœur. J'ai tendance à être plutôt stéréotypé et je l'assume bien : par exemple l'idée reçue selon laquelle les capacités d'une femme sont inférieures à celle de l'homme parlent bien à mon côté macho, et les féministes me pompent l'air. Ou encore l'homosexualité ― chacun fait ce qu'il veut, hein, mais deux gars ensemble, j'trouve ça dérangeant, même si c'est un truc à ne pas clamer sur tous les toits à notre époque. Par contre je n'ai rien contre le fait de voir deux filles jouer les allumeuses ensemble; soyons honnête, n'importe quel gars fantasmerait sur une telle image. En amitié ou en affaires, ma loyauté a pour limite ma rancune plutôt prononcée, et je suis prompt à la vengeance, quitte à ce que cela m'attire à moi-même des ennuis. Je suis débrouillard, ce qui peut sembler étrange pour un gosse de riche mais qui ne l'est pas tant, me concernant : renié à 18 ans, j'ai accumulé les ennuis, les dettes, puis les jobs dans l'espoir de pouvoir payer les dites-dettes; il m'a donc bien fallu apprendre à m'en sortir par moi-même. Mon instinct de survie très prononcé fait que je suis prêt à beaucoup pour sauver ma peau, mais je fais parfois des détours monstres pour n'avoir à sacrifier ni quelqu'un que j'apprécie ou que j'estime, ni ma fierté. Je n'aime pas le reconnaître mais en matière de relations "amoureuses" et de stabilité je ne vaux pas bien mieux que mon père. Par contre l'infidélité me débecte et je préfère rompre en bonne et due forme avant de passer à une autre cible (en cas d'urgence il reste les sms). Bien sûr, s'il est question de simple aventure et non de couple, je me moque bien de ce que fait ma partenaire; il m'est même arrivé d'en échanger avec de bons potes, c'est pour dire... Comme tout frère qui se respecte j'ai un côté protecteur. Il m'arrive d'ailleurs de trop m'immiscer dans la vie sentimentale de mes sœurs, parfois, mais elles me le rendent bien. Il m'arrive de jouer les héros, mais moins par souci d'autrui que pour le plaisir de prendre part à une bonne bagarre. Et puisqu'en tant qu'image de marque je me dois de prendre soin de mon visage, il est évident que je rends coup pour coup presque systématiquement, que la personne face à moi soit un homme ou une femme : je ne suis tout simplement pas du genre à me laisser frapper. Quoi, qui a parlé de Chanel? Bon, elle c'est une exception, je ne peux tout de même pas tabasser ma noona ! ... elle me tuerait. Quel est votre péché mignon ? La chose que vous détestez le plus ? Pour ne pas entrer dans les détails, je dirai que ce n'est rien de très catholique et que ça tient en quatre ou neuf lettres, haha. Bon, soyons sérieux. hm.. Une tasse de café assortie d'une clope : duo incontournable les jours de stress. J'évite d'y céder en permanence, mais il n'y a rien de mieux pour me détendre, et ce sont bien les seules occasions en lesquelles je me permets de fumer. Je placerais environ au même niveau les plats épicés accompagnés d'un verre de soju ― ou comment allier "bon goût" et "capacité de distraction maximale" ― il n'y a pas mieux pour me changer les idées ou me détourner d'un problème, ne serait-ce que quelques instants. Ça sonne peut-être un peu masochiste mais la sensation de brûlure me met... de bonne humeur. Ce que je déteste? Peut-être toi, qui sait. Personne n'est parfait. Quel défaut ne pardonnerez-vous jamais ? Franchement, tout dépend de la personne à laquelle je suis confronté. Un défaut qui me met en rage chez quelqu'un peut ne pas me déranger le moins du monde chez quelqu'un d'autre... De même qu'une qualité peut m'exaspérer chez une personne qui m'insupporte, pour la simple et bonne raison que j'ai horreur de trouver autre chose que des défauts chez ceux que je n'aime pas. Comment vous comporteriez-vous avec la personne que vous aimez ?Je la couvrirais assurément de cadeaux ― mais je le fais déjà avec n'importe laquelle de mes conquêtes, parce que ça m'amuse. Je suppose que je serais attentionné... mais idem, c'est déjà le cas même quand je ne tiens que moyennement ou très peu à ma compagne du moment. Honnêtement, je n'ai aucune idée de la façon dont cela changerait mon attitude habituelle. Je serais peut-être plus jaloux.. bouarf, j'vous tiendrai au courant si ça arrive un jour. Comment vous comporteriez-vous avec quelqu'un que vous détestez ?Je sauterais sur toutes les occasions de lui taper dessus, quelle question ! Ah bein si, tiens : j'aime pas les animaux. Que ça grogne, miaule, aboie, que ça marche sur deux pattes ou sur deux, que ça porte une couche (quoi, les bébés n'entrent pas dans cette catégorie...?) ou des poils longs, courts, invisibles ou d'une couleur surréaliste, non franchement, j'aime pas. Il m'est arrivé de faire croire le contraire pour séduire une fille (tant qu'elle ne m'obligeait pas à faire des mamours à sa chose), mais il y a bien une chose sur laquelle je suis intraitable : si l'une de mes copines s'avère être mère célibataire je me tire, et au pas de course s'il vous plait (je vous avais dit que j'aime le sport?). Il y a-t-il quelque chose dont vous souhaitez nous faire part ? Bein non, écoutez, vous n'en avez pas marre de m'écouter parler de moi? Behind the screen
Salut la populace ! Dans ce monde je ne suis connue sous aucun pseudo èé et j'ai très exactement 20 ans je le jure ! Je serais présente sur le forum environ jesaispascombiendefoisparsemaine mais souvent parce que j'ai une vie... ou pas. Comment je suis arrivée dans le coin ? Tout simplement à cause de yiiie, qui m'a tirée de ma retraite rpgique 'o'. Et pour finir, j'aimerais vous dire que j'me sens canon en kim beom /out/. | |
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